L’héroïne suivant de notre projet est le promus de la faculté de médecine générale de 1998 Diana Vladimirovna Nevzorova, le spécialiste générale du Ministère de la santé de la Fédération de Russie pour l’aide palliative, le president du conseil d’administration de l’association de l’aide d’hospice:
- Maintenant j’ahbite et je travaille à Moscou. Je suis le docteur de l’aide palliative et le sous-chef du Centre de l’aide palliative du département de la santé publique de la ville de Moscou. Outre cela je suis le professeur оe fais mes cours au department de l’expertise médico-sociale, de la thérapie polyclinique et d’urhence de la première universitè d’état de médecine de Moscou I.M. Sétchénov.
Mon rove depuis mon enfance était de devenir un médecin. Je ne me souviens pas de mon autre choix. que je voudriais. Je soignais toujours des jouets, des animeaux domestiques et toute ma famille. En faisant mes études à l’université j’ai voulu devenir le médecin accoucheur et travailler dans le bloc de l’accouchement, on peut dire être dans l'avant-poste de la vie, j’ai fais mes cours supplémentaires dans le cercle scientifique et j’ai été de garde très souvent dans des hôpitaux. Mais ce rêve n’était pas réalisé. L’oncologie m’a interessé beaucoup. J’ai étudié la gynécologie oncologique, la radiologie, j’ai fait ma thee à’institut de la radiologie médicale à Obninsk (Russie).
Si je voudriais faire des recherches scientifiques? Non, c’est sûr et certain. Cependant dans les années 2000 il était très difficile de trouver la position d’un médecin mais il était beaucoup plus facile de devenir un chercheur scientifique. De cette façon j’ai commence mes recherches et j’ai fais ma thèse du doctorat. On peut dire bien sûr que je n’ai pas voulu devenit le médecin de l’aide palliative. C’était un hasard. Tous les spécialistes qui tavaillent dans un hospice vont dire la même chose. Mais après des refléxions nous comprenons que le hasard n’existe pas.
Nous aidons des personnes qui sont en train de mourir ainsi que leures familles car nous ne savons pas faire autrement. Pourquoi ? Les oncologues, les neurologues, les thérapeutes, nous traitons les maladies et nous espérons que les patients vont guérir. Si l’espoir nous quitte et le patient va vers la fin se sa vie, nous ne pouvons rien faire. Nous attendons et nous sommes chagrinés par cet échec dans notre lute quotidienne. Dans l’aide palliative c’est pas possible d’échouer, notre victoire est l’amélioration de la qualité de la vie des malades, notre échec c’est leure souffrance.
En 2004 j’ai fais la connaissance de Vera Milliontchikova, une femme extraordinaire, le chef du premier hospice à Moscou qui m’a montré un autre aspect de la profession du médecin mal connu pour moi, dont le centre est le processus du traitement et pas son résultat. Tout de suite j’ai commencé mon travail avec elle. Voilà comment j’ai débuté dans l’aide palliative dans le monde du soin et du soutien du patient et de sa famille jusqu’à la fin.
Je travaille comme le médecin dans l’aide palliative déjà pendant 15 ans et chaque jours je consacre ma vie à la formation, à l’organisation de la santé publique, aux recherches scientques, aux patients mourants. Je suis sûre que cette voie est à moi et je ne regrette jamais que je l’ai choisi. L’aide palliative c’est un parti le plus humain à la santé publique, elle se dévéloppent activement et elle a beaucoup de perspective.
Chers collègues, jeunes spécialistes, je vous invite de devenir des médecins de l’aide palliative avec des perspectives scientifiques, professionnelles et humaines. Les patients et leures familles ont besoin de vous!