Le premier héros de notre nouveau projet “Histoire d’un succès” est le promus de la faculté de médecine générale de 1988, docteur ès médecine, professeur, directeur du Centre de la chirurgie clinique et expérimentale, professeur du département de la chirurgie, de l’obstétrique et de la gynécologie de la faculté de la formation médicale continue de l'université d’état de médecine de Riazan Konstantin Viktorovitch Poutchkov:
- Pendant ma deuxième année des études j’ai choisi ma future spécialité. Cela s’est passé quand j’ai fait mon stage dans le département chirurgical d’un hôpital. J’ai commence à travailler là-bas pendant ma troisième année – j’ai fait mon service, j’ai assisté. J’ai compris que c’est mon rêve d’être un chirurgien. J’ai fait une conclusion que pour devenir un bon chirurgien il faut avoir les mains habiles. Alors j’ai commencé à apprendre jouer à la guitar et lier des nœuds chirurgicaux em augmentant la vitesse. J’ai fait cela partout – à la maison, pendant les cours, dans le travail, dans le transport. J’ai utilisé des gants en caoutchouc avec de la confiture pour imiter le sang. C’était le modéle de la situation qui se passé pendant chaque opération. Il fallait faire automatiquement son travail mécanique.
Pendant ma cinquième année pendant le concours universitaire de la chirurgie j’ai pris la première place et on m’a envoyé à Perm pour le concours russe où j’ai été placé le troisième. Ensuite avec l’équipe russe j’ai participle dans le concours de L’URSS. Nous étions les premiers et j’ai reçu le diploma du ministère de la formation secondaire et supérieur. Cela m’a donné le droit de faire le résidanat juste après mes études à l’université.
Je l’ai fait dans le department de la chirurgie de faculté. Dans deux année après sa fin, en 1992 j’ai fait ma thèse pour devenir le maitre des conférences, encore dans 5 année je suis devenu le docteur es médecine. J’avais 32 ans à ce moment-là. J’ai fais déjà 15 invention et brevet des opérations dans la domaine de la laparoscopie que j'ai commencé à pratiquer dès son apparition dans la pratique mondiale.
En 1995 nous avons organisé le département de la laparoscopie dans la chirurgie et de la gynécologie, le premier en Russie. Ensuite nous avons organisé le cours de l’endochirurgie sur la base du département de la chirurgie de la faculté de la formartion médicale continue de l’université d’éta de médecine de Riazan. On peut dite que nous avons formé une école scientifique dont le but le développement des nouvelles technologies dans la chirurgie et l’analyse des résultats du traitement en correspondance avec les critères internationaux de l’évaluation de la qualité de la vie.
J’ai commencé à travailler à l’hôpital clinique de région comme un infirmier et j’ai fini mon travail là-bas comme le chef de l’hôpital.
Maintenant je suis le chef du Centre de la chirurgie clinique et expérimentale et de la clinique universitaire SwissClinic à Moscou, fait presque 40 cours de master en Russie et à l’étranger en formant les chirurgiens laparoscopiques.
Je suis toujours en contact avec l’université d’état de médecine de Riazan , je fais les cours pour les résidants et les praticiens. En 2018 j’ai réussi à créer le portail web de formation “Meilleurs chirurgiens du monde entier” où on peut trouver les vidéos des opérations différentes. On peut faire la liste alphabétique selon le nom du chirurgien ou selon l’instrument qu’on utilise. Ce portail est gratuit.
Merci beaufcoup au destin qui m’avait dirigé vers ma profession qui m’a aide à comprendre le sens de la vie. Pour moi il est dans la satisfaction de ce que je fais, du mon dévéloppement et de ma voie personnelle. C’est étrange mais nous sommes les meilleurs professeurs pour nous-mêmes. Nous évaluons notre vie nous-mêmes. Si nous sommes contents – c’est excellent, si non – c’est três mal. Ous avons la force de faire notre vie magnifique ou ennuyeuse. Il faut comprendre et ne jamais oublier vque nous ne sommes pas riches à cause de ce que nous avons mais à cause de ce que nous faisons. Plus le médecin est un professionnel plus de satisfaction il reçoit et plus qualifé est le traitement du malade.